On se trouve toujours des excuses pour vivre.
Nom & Prénom : Cloud. Autrefois Griffin Baskerville.
Date de naissance : 1er Avril.
Age : Une trentaine dans les deux cas.
Sexe : Masculin.
Orientation sexuelle : Bisexuelle.
Rang social/Métier : Aujourd’hui, il est un informateur de la famille Barma mais autrefois, il faisait parti de la famille Baskerville.
(Hé hé, pas plus !). Dans la version officiel, il n’est pas membre de Pandora mais la version officieuse atteste le contraire, à méditer.
Spécialité au combat : Fin stratège. Espion dans certain cas.
Phobie : Le noir.
Quel groupe souhaitez-vous rejoindre ? : Baskerville.
Histoire :
Il était une fois. C’est comme cela que devrait commencer toute les histoires mais cette histoire là ne commence en rien par cela, n’est ni dans un monde merveilleux et n’est caractérisée par des personnages merveilleux car cette histoire là est une terrible réalité.
Cloud ou plutôt Griffin, il y a plus de cent ans était un membre de la famille Baskerville : l’ainé et l’héritier de la famille ducale mais l’actuel représentant de cette famille – son père – refusa de lui donner sa bénédiction pour divers raisons ; son fils était le fruit pourri de la famille. Il s’était illustré dés son adolescence comme un manipulateur, un traître, un saligaud de première et cela, son père l’avait bien retenu et il ne pouvait laisser un tel pouvoir entre les mains d’un homme comme son ainé ; il décida de donner sa bénédiction au cadet : Glen Baskerville.
« Pardon ? »
« Je suis sérieux Griffin. Ton frère est le plus apte à devenir l’héritier » Le père Baskerville était un homme bon, un peu sénile sur les bords mais qui prenait toujours les bonnes décisions ; le front de Griffin était fripé par des rides de colère.
« Mais bien sur. Qu’est ce qu’il a fait pour ? »
« Pour commencer, il ne fait pas honte à la famille Baskerville. »La discussion entre le père et le fils dura une heure. Le lendemain, le père fut retrouvé mort dans son lit dans d’étranges circonstances, bien sur, son fils ainé fut soupçonné mais rien ne le raccordait à ce meurtre. La question de l’héritier n’eut pas le temps de se poser et ce fut Glen qui reprit la succession de son père avec son frère comme bras-droit : comme quoi, le destin fait bien les choses.
Mais la rancune, la malveillance de Griffin était si grande comme cette obsession de devenir le maître de la famille Baskerville lui firent monter un plan digne du plus grand génie du mal mais il n’était pas seul, une femme l’aida. Une femme dont il était l’amant. Des cheveux écarlates, une grâce digne de la plus grande des duchesses : fichtre, est-ce que j’en ai trop dis ?
La première partie du plan était de faire tomber Glen amoureux, rien de plus facile car il aimait déjà quelqu’un : une certaine Lacie mais la suite devenait plus tordue car pour briser un homme, il faut trouver le point sensible et pour cette famille, le point sensible était l’amour. L’amante de Griffin lui proposa de manipuler une jeune noble : Angela pour qu’elle tombe amoureuse afin de pouvoir utiliser sa véritable nature car en plus d’être une femme, elle était une chain. Chain qui fit disparaître Lacie, Chain qui se suicida.
La seconde partie du plan était de faire sombrer Glen, rien de plus simple, Griffin était vraiment doué pour cela et la tragédie se monta ainsi, pousser l’homme jusqu’à la limite du raisonnable, le briser pour mieux le manipuler : Griffin était le cauchemar de la famille Baskerville.
Seul un bémol brisa ce magnifique plan, d’une part, Griffin était atteint de la tuberculose et la seconde chose était que l’amour regorge de trahison et son amour à lui décida de l’assassiner pendant ce chaos ambiant qu’était cette tragédie. Il fut envoyé dans l’Abyss par son Chain, chose qui le sauva d’une mort certaine …
Aujourd’hui. Il est chez la famille Barma sous le nom de Cloud. Aujourd’hui, il a perdu la mémoire et une partie de lui-même dans cette Tragédie. Aujourd’hui, il vit comme informateur du Duc et comme nounou avec cette demoiselle logeant chez le Duc, une clef pouvant le relier à son passé peut être …
Seul son chain (mais lequel ?) se souvient encore de son passé mais un étrange pacte lui fait garder le silence. La suite de l’histoire est encore à écrire on dirait.
Physique :
Dans le passé, Griffin avait les cheveux longs attachés en une queue de cheval assez basse, laissant alors des mèches tombés sur son visage et dissimulant ainsi ses émotions et notamment ses yeux bleus électriques. Il portait des costumes de l’époque avec dentelle et autres rubans inutiles, c’était le plus souvent Charlotte qui l’habillait mais dès que les obligations de la famille n’avaient plus lieu d’être, il s’enlevait toute les choses inutiles et restait dans sa chambre à lire dans un simple kimono blanc le plus ouvert au niveau du torse. Un exhibitionniste en plus mais ceci semble plaire aux femmes … sauf à Charlotte.
Aujourd’hui, Cloud a maintenant les cheveux courts mais il a toujours ses mèches qui tombent sur son visage dissimulant ses sentiments et ses yeux bleus électriques mais ternis au fil des années passés dans l’Abyss. Il porte des vêtements normaux soit une chemise blanche en relevant le col pour dissimuler le tatouage du Jabberwocky, tatouage qui désignait l’héritier, un pantalon gris foncé à carreaux et une paire de bottines noires où il rentre son pantalon. Pour dissimuler le tout, il met un long manteau noir comme pour ne pas se dépayser de la cape des Baskerville.
Caractère :
Cloud est tout ce qu’il y a de plus lunatique. Tantôt joyeux, tantôt haineux. Pire qu’une gonzesse. Bien pire car ses sautes d’humeurs dissimulant un esprit instable et des regains de violence, il est au fond misanthrope, détestant l’être humain et ne ressentant à aucun moment de l’empathie pour quiconque : un vrai salaud. Mais c’est une facette qu’il essai de ne pas montrer et montre alors un sourire jovial et forcé, dit des paroles réconfortantes et un peu niais. Il est un salaud cynique.
Il est un charmeur né, faisant chavirer le cœur des dames avec quelques belles phrases bien trouvées mais il arrive aussi à s’attirer l’affection des enfants … Chose qui a le don de l’énerver.
Enerver. Haine. Colère. Ce sont des mots qui correspondent parfaitement au tempérament de braise du jeune homme.
Il semble entretenir une relation spéciale avec le Duc Barma. Ceci reste à découvrir. Il semble aussi plus affectueux avec les enfants depuis qu’il a rencontré cette demoiselle vivant chez le Duc.
Nom : Puss in Boots. Mais ceci n’est pas vraiment son nom vu qu’il n’est pas vraiment. Un indice : Dee et Dum.
Sexe : Masculin.
Phisyque :
A première vue, Puss est un chat roux tigré de noir avec un corps mutilé. Il porte des bottes noires comme dans le conte, un chapeau et un fleuret attaché au niveau de sa taille à une lanière en cuir noir. Mais ceci est la version officielle de l’apparence du Chain.
Mais l’officiel cache une apparence bien plus terrible : ce n’est pas un Chain mais deux. Deux jumeaux : un conservant l’apparence du chat et l’autre n’ayant plus rien d’animal et encore moins d’humain, un corps se décomposant à vue d’œil comme le corps de Griffin. Ce jumeau là est lié à Griffin car c’est grâce à lui que le jeune homme vit encore. Le jumeau Dee, « le normal », a une voix d’enfant tandis que l’autre jumeau Dum, « l’anormal », a une voix de vieillard.
Franchement, Griffin fout la trouille à tous les étages.
Caractère :
Le jumeau « entier » est une sorte de psychopathe affichant un large sourire, n’ouvrant quasiment jamais les yeux comme pour cacher d’infernales pensées. Tandis que l’autre jumeau est le sociopathe en puissance, manipulant l’autre pour qu’il se batte à sa place et le manipulant pour divers choses comme pour discuter avec son maître sauf que ce n’est pas la voix de Dee mais la sienne qui se fait entendre.
A-t-il jouer un rôle de le passé de son contractant ? : Non. Mais bientôt dans vos cauchemars.
Ha ha.
TESTE RPG
Validé ~ Yuka - Spoiler:
Il leva les yeux vers le ciel dans un élan de courage. Courage car cela faisait cinq jours qu’il gisait dans cette rue sombre de la capitale ; il était adossé contre un mur, le bras gauche pendant dans le vide et baignant dans une flaque d’eau, le bras droit était sous son manteau qui lui servait de couverture. Ses jambes étaient allongées de tout leur long laissant apparaître un pantalon déchiqueté, les coutures présentées une couleur écarlate alors que le reste du pantalon avait conservé sa couleur d’origine : un gris foncé. Mais avait-il si froid pour garder son manteau noir sur lui, que voulait-il se cacher ?
Il ne cachait rien à part un mouchoir autrefois blanc mais rouge aujourd’hui, pourtant, il n’avait aucun blessure digne de ce nom pour avoir perdu autant de sang, non, cette blessure n’était pas visible car elle était à l’intérieur de son corps : la maladie le rongeait comme un chien s’acharnant sur un vieil os sans moelle … Il souffrait depuis cinq jours, depuis qu’il avait décidé de s’échouer ici pour méditer, pour oublier cette douleur lancinante qui parcourait chacun de ses muscles, chacun de ses nerfs mais à l’origine, rester ici devrait le rendre encore plus malade vu le niveau d’hygiène de la rue …
« Que fais-tu ici ? » Il baissa faiblement la tête, cherchant de ses yeux bleus la personne qui l’avait interpellé : encore lui.
« Que faites-vous ici ? » Demanda-t-il, arquant un sourcil et semblant irrité.
« Ne change pas de sujet en posant une question, tu sais très bien qu’avec moi, cela ne fonctionne pas. » La voix de l’inconnu était irritée. « Cloud, il serait tant que tu comprennes que le manoir est chez toi. »
« Je le sais très bien. Merci de me le rappeler Duc Barma. »
Le Duc et l’informateur. Le Duc Barma s’avança vers le petit être qui s’était confiné dans cette rue et s’accroupit face à lui. Le duc qui s’accroupit ? Oui et avec un vilain grognement mais le rouquin semblait faire beaucoup de chose pour cet être là et dans un élan presque paternel ou un truc du genre, chacun l’appel comme il le souhaite, il prit le visage attristé de Cloud entre ses mains :
« Recommence et la prochaine, ce sera ton cadavre que je ramènerai au Manoir. »
« Arrêtez. Peut être que ce que vous dites sera la Vérité d’ici peu … »